mardi 10 septembre 2013

Femmes

[Ce texte est inachevé, et ne sera probablement jamais terminé. Il n'y a que le début, mais je ne voulais pas totalement faire tomber ce court texte dans l'oubli de mon disque dur. Il devait faire plusieurs page. Il n'en restera que quelques lignes. Sauf si j'en ai la foi.]

Perfides. Artificieuses. Vaniteuses. Curieuses. Dépravées. Ainsi écrivait le poète. Là où il voyait une putain, il trouvait une muse, là où il trouvait une muse il voyait une putain.

Permet donc, à moi, humble troubadour de compléter ces mots, de les occulter, de les oublier.
Laisse moi l'incliner, laisse moi m'effacer, laisse mon phrasé être le fidèle écuyer de la féminité.

Tu as perdu l'Eden, tu as fais brûler Troie, et lorsque tu fus reine tu fis pleurer les rois.


Mais qu'importe le feu, qu'importe le sang, qu'importe les larmes et la chute des empires, tu as été mère, femme,, fille, amante, aimante, muse, inspiration, guide, beauté, tu as donné aux hommes des raisons de vivres, des raisons de mourir, des raisons de composer et d'écrire.

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