[Ce texte est inachevé, et ne sera probablement jamais terminé. Il n'y a que le début, mais je ne voulais pas totalement faire tomber ce court texte dans l'oubli de mon disque dur. Il devait faire plusieurs page. Il n'en restera que quelques lignes. Sauf si j'en ai la foi.]
Perfides. Artificieuses. Vaniteuses.
Curieuses. Dépravées. Ainsi écrivait le poète. Là où il voyait
une putain, il trouvait une muse, là où il trouvait une muse il
voyait une putain.
Permet donc, à moi, humble troubadour
de compléter ces mots, de les occulter, de les oublier.
Laisse moi l'incliner, laisse moi m'effacer, laisse mon phrasé être le fidèle écuyer de la féminité.
Laisse moi l'incliner, laisse moi m'effacer, laisse mon phrasé être le fidèle écuyer de la féminité.
Tu as perdu l'Eden, tu as fais brûler
Troie, et lorsque tu fus reine tu fis pleurer les rois.
Mais qu'importe le feu, qu'importe le
sang, qu'importe les larmes et la chute des empires, tu as été
mère, femme,, fille, amante, aimante, muse, inspiration, guide,
beauté, tu as donné aux hommes des raisons de vivres, des raisons
de mourir, des raisons de composer et d'écrire.
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